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Site de Pascal Gordon

6 mars 2016

Bienvenue sur le site de Pascal Gordon

 

 

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 25 ans d'expérience

me contacter au

 

06 78 86 66 38

 

Ce sont des migraines répétitives qui m'ont amené à consulter une autre médecine. La réussite a été tellement spectaculaire que cela m'a incité à découvrir le magnétisme.

Ma Grand-Mère a été le moteur qui m'a permis d'accéder à ce monde bien particulier de l'énergétique qui me passionne depuis 25 ans.

Cette période m'a permis de rencontrer de nombreuses personnes présentant différentes problèmatiques, avec des résultats bénéfiques et durables.

Au fil de ces années, je me suis aperçu que mes mains savent et que mon esprit guide pour l'aide que je peux apporter.

Aujourd'hui, je sais par expérience que le magnétime est utile et efficace dans de nombreuses situations. J'ai aussi développé des techniques de magnétisme crânien qui aide à la détente et au rééquilibre générale,  ainsi que de barreur de feu qui soulage les brûlures, la radiothérapie, le zona, etc.

Toute cette expérience professionnelle me permet maintenant de soulager les cancers, les scléroses en plaques, les calculs (biliaires et urinaires), les migraines, les zonas, les brûlures, les eczémas, les psoriasis, etc.

Je pratique dans la région Centre de la France.

Mais la plus grande partie de mon activité se réalise par des soins à distance.

 

Sans titre

 

 

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6 mars 2016

Interview de Pascal Gordon

 

Pascal Gordon est magnétiseur depuis plus de 20 ans. Ce don lui a été transmis par sa grand-mère, qui l’a accompagné au fil des années. Il s’est formé ensuite en radiesthésie avec un prêtre ainsi qu’en ostéopathie.

 

Mr Pascal Gordon, qu’est-ce qui vous a amené à devenir guérisseur-magnétiseur ?

Ayant souffert de migraines pendant 10 ans et ne trouvant aucune solution via la médecine traditionnelle, je me suis dirigé vers une médecine parallèle à savoir des séances de crânien qui ont réglé définitivement le problème en deux séances. Suite à cela, je me suis intéressé à ce monde qui m’a toujours fasciné. J'ai eu la chance de rencontrer des gens qui m'ont aidé dans cette démarche, à savoir ma grand-mère astrologue, un prêtre, un ostéopathe puis un médecin.

                                 
               

Depuis combien de temps exercez-vous ?

J’exerce depuis près de 15 ans. Après le résultat sur ma migraine, je me suis intéressé de plus en plus aux médecines alternatives en particulier à l’ostéopathie avec un ami. J'ai découvert la possibilité de régler et de caler un rythme crânien. Il s’en suit un bien-être et souvent une solution à bien des problèmes. J’ai rencontré beaucoup de personnes qui m'ont guidée dans mes choix et les directions que je devais suivre. De plus, ma Grand-Mère qui était astrologue, a fini de me pousser dans cette voie en me rassurant sur mon potentiel. Les premières années je rencontrais chez ma Grand-Mère les personnes que je devais soigner. Puis très vite, je me suis aperçu que les gens étaient plus réceptifs à mes soins, lorsqu’ils étaient chez eux. Ensuite, le bouche à oreille a fait le reste et ma disponibilité à toutes heures m’a permis  de trouver des solutions à bien des souffrances tant morales que physiques.

 

Est-ce que vous avez le sentiment que votre profession a changé ? Vous sentez-vous mieux reconnu ?

Le monde du magnétisme est entrain d’évoluer. On accepte aujourd’hui la possibilité que les magnétiseurs ont certaines aptitudes pour soulager et régler certains maux. Maintenant, la profession de magnétiseur n’est plus tabou. Souvent dans le passé le magnétiseur était dénigré par la médecine traditionnelle, mais aujourd'hui le monde médical compte tenu de la recrudescence de cancers fait souvent appel à nous, aussi bien pour enlever le feu créé par la radiothérapie que pour aider à mieux supporter les chimiothérapies. Souvent aussi on nous demande d’enlever des calculs notamment dans la vésicule biliaire ou les reins

 

Pensez-vous qu’il soit indispensable d’avoir un don pour exercer votre profession ?

C’est un ressenti propre à chacun.  Je ne sais pas alors si on peut parler de don, car j'ai encore parfois du mal à comprendre comment ça marche vraiment. Ce que je sais par contre, c’est qu'au fil de toutes ces années, les nombreuses lettres de remerciements m'ont donné le courage et l'envie de continuer. Je me rappelle notamment une petite fille qui était comme une poupée de chiffons et dont les parents étaient vraiment découragés car il avait tout tenté pour sauver leur enfant. Ils ont eu beaucoup de mal à accepter que je les aide, car ils ne croyaient plus en rien. Je leur avais pourtant dit mon ressenti… que cette petite fille viendrait un jour se jeter dans mes bras en courant. Cela leur semblait impossible. Mais deux ans et de nombreux soins après, cela s'est produit. Je n'ai jamais éprouvé un plus grand bonheur. C’était au delà de tout ce que je pouvais imaginer.

 

                                  

En quoi consiste le magnétisme ?

 Le magnétisme pour moi est assimilé à un courant électrique que je ressens et qui est en accord avec le patient  Bien dirigé cet influx électrique arrive  à l’aider dans bien des cas comme pour briser des calculs. L'échange et la confiance dans ces moments-là sont tellement intenses que le soulagement est souvent assez rapide. J'ai l'impression de rentrer au plus profond de leur être, comme si je ne faisais qu'un avec leur souffrance. C'est une écoute différente de leur douleur, un autre regard. Il faut provoquer le déclic qui permet à l'individu d'avoir vraiment envie de guérir.

 

Vous parlez souvent d’équilibrer les énergies, qu’entendez-vous par là ?

Je ressens et je vois l’aura qui se dégage de chaque personne. Selon sa position et sa force, j’essaye d’agir dessus pour équilibrer les énergies. Après plusieurs séances, le positionnement de cet équilibre redevient normal et on peut alors observer une nette amélioration de l’état de la personne. Il faut une cohésion de toutes les énergies pour que l'organisme fonctionne normalement. Or, notre vie et notre état de stress permanent dérèglent tout cela.

 

Comment se déroule un soin ?

J’essaye toujours de commencer par une séance de crânien. Puis en fonction de la demande du patient, j’agis sur différentes parties du corps. Mes mains savent, il ne me reste plus qu’à les suivre. Un petit contact électrique se produit et une chaleur que le patient ressent se dégage de mes mains. Je sais alors que le soin commence, quand cette chaleur s'est estompée. Je ressens que je peux arrêter ayant alors apporté toute l'aide que je pouvais.

 

Vous pratiquez aussi le magnétisme crânien, en quoi consiste-t-il ?

Le magnétisme crânien consiste à diriger le flux du liquide céphalo-rachidien dans toute les parties du crane avec régularité et douceur  selon un rythme bien défini qui n’a rien à voir avec le rythme cardiaque. Quand on arrive à ce résultat, le corps s’adapte et la respiration se fait plus régulière, le flux sanguin circule mieux et le patient ressent alors un bien-être et une détente. Il est alors dans une approche positive pour la guérison de ces maux.

 

Que vous apporte la radiesthésie lors de vos soins ?

Dans bien des cas  la radiesthésie répond à certaines de mes questions par rapport à une pathologie et me permet d’adapter au mieux mes soins. Dans la recherche de certains remèdes, j’utilise un pendule en buis, et pour le travail  sur photo, un pendule en cristal de Bohème.

                                   

 Vous travaillez à enlever le feu, quels résultats obtenez-vous ?

Le résultat sur le feu est souvent immédiat quand il s’agit de brulures « traditionnelles ». Il est beaucoup plus compliqué quand il s’agit de brulures dues à une radiothérapie.
Notez que le magnétiseur n’enlève pas le feu, mais il le prend sur lui. Il se protège grâce à une prière qui se transmet. L’énergie déployée à enlever le feu est souvent énorme et fatigue terriblement. Mais ce don reçu est sans équivoque. On se doit de l'utiliser.

 

Vous pratiquez des soins à distance, sur photo. Les résultats sont-ils comparables à ceux obtenus lors d’une consultation habituelle ?

 Bien sûr, un soin à distance demandera plus de temps qu’un soin en direct. Mais parfois ça suffit à aider surtout si je connais les personnes. Le travail sur photo demande à trouver un contact électrique que l’on arrive aussi à cibler grâce au pendule.

 

Quels sont les problèmes de santé qui réagissent le mieux à vos soins ?

Ils sont nombreux : brûlures, zona, eczéma, psoriasis, migraines, calcul, douleurs de l’arthrose, problèmes gynécologiques, digestifs, urinaires… aide apportée lors des chimio et des radiothérapies. Enfin, quelques résultats en sclérose en plaques si la maladie n’est pas trop avancée. 

 

Comment peut-on vous contacter ?

Sur mon site : http://www.canalblog.com/cf/contactAuthor.cfm?mid=1376159&bid=1384249

ou par téléphone : 06.78.86.66.38

ou par mail : legrandfrerepascal@yahoo.fr

 

Je peux intervenir dans toutes régions et consulte aussi à distance.
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6 mars 2016

Interview pour le journal "Principes de santé"

 

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6 mars 2016

La maladie de Lyme

 

La maladie de Lyme sévit dans certaines régions. Le traitement conventionnel avec les antibiotiques et les anti-inflammatoires est efficace surtout au début de la maladie. Autrement, les traitements naturels, notamment avec les huiles essentielles, seront très efficaces pour se débarrasser de cette difficile maladie qui passe facilement à la chronicité.

 

Les traitements conventionnels de la maladie de Lyme consistent en :

 

1. Une antibiothérapie essentiellement (amoxicilline ou doxycycline, voire plus rarement azithromycine), car la maladie est due à une bactérie. La durée du traitement (21 à 30 jours généralement , jusqu’à plusieurs mois dans certains cas) et le dosage (souvent moyen ou fort) dépendront de l’ancienneté et de la gravité de la maladie. Il faudra penser à prendre des protecteurs hépatiques (romarin, artichaut…) et des probiotiques (pour protéger la flore intestinale) pendant cette période. Le traitement antibiotique sera d’autant plus efficace qu’il est pris tôt. Après quelques mois, les germes sont tapis dans l’organisme et les antibiothérapies prescrites alors auront un résultat bien moindre.
 
2. Les anti-inflammatoires (AINS ou cortisone) ne seront jamais donnés seuls, car le risque d’enkystement des bactéries est grand. Par contre, selon les cas, ils seront prescrits en association avec l’antibiothérapie pour soulager les arthrites (infiltrations quelquefois) et les autres inflammations induites par la maladie.

Cependant, ce traitement n’arrive pas à guérir tous les cas de maladie de Lyme, surtout lorsqu’elle est diagnostiquée tardivement. Car la bactérie demeure souvent tapie dans des sites difficilement accessibles aux antibiotiques, comme dans des sites enkystés, les hématies et les lymphocytes… Et elle pourra ressortir ultérieurement et induire sournoisement de nouvelles pathologies comme celles évoquées dans la phase tertiaire.

                                 


Les traitements naturels
pourront aider à tous les stades de la maladie. Ils seront associés aux traitements modernes ou bien seront pris lorsque ceux-ci auront échoué.
   
Il faudra commencer par limiter la consommation de sucreries, des laitages et des graisses cuites qui affaiblissent le système immunitaire. Une alimentation riche en crudités, fruits, légumes, poissons (oméga 3) et huiles végétales (olive, colza, noix) sera bénéfique pour l’équilibre acido-basique du corps, les défenses immunitaires et le drainage digestif.

 
Nous le compléterons avec :
 
1. Les huiles essentielles à base de Sariette, girofle, camomille sauvage et thym sont à utiliser lors de la piqûre de la tique. Mais cette association peut aussi être utilisée ultérieurement contre la bactérie à raison de 5 gouttes dans un verre d’eau à prendre trois fois par jour au cours des repas pendant 3 à 4 mois au minimum. Ce traitement peut être à renouveler quelques mois plus tard si nécessaire. Il faut aussi savoir que la destruction des borrelia, va libérer beaucoup de toxines, ce qui explique les possibles aggravations des signes pendant les premières semaines du traitement. 

Mais il existe aussi de nombreuses autres huiles essentielles effcaces contre les bactéries, comme Melaleuca alternifolia, Mentha piperata, Cinnamomum verum, Origanum compactum, Ajowan, Cymbopogon martinii…

                     

 2. Il est intéressant d’y adjoindre des alcalinisants comme des algues (spiruline bio notamment) surtout lorsqu’il y a une acidose urinaire (visible sur des bandelettes urinaires réactives).  Car la mise en alcalose de l’organisme permettra une meilleure efficacité des huiles essentielles.  


 3. D’autres traitements naturels seront actifs sur les toxines sécrétées par la borrelia. Ce sont :
    - la griffe du chat (uncaria tomentosa) : 2 gélules trois par jour, utilisée aux USA. Elle a aussi un effet immunostimulant.
   - la racine de Cardère (dipsacus silvestris) : 5 gouttes trois fois par jour, utilisée en Allemagne, mes résultats sont également inconstants.
     - certains patients affirment avoir aussi obtenus de bons résultats avec le chlorure de magnésium, les extraits de pépins de pamplemousse ou l'argent colloïdal.
 
 4. Les autres traitements intéressants :

a. Homéopathie, on conseille : Borrelia 200K, 1 000K puis 10 000K (disponible en Allemagne et Belgique): 1 dose tous les 20 jours en augmentant les dilutions avec Cuprum metallicum 5CH : 3 granules/j.

b. Plantes pour relancer l’immunité générale : echinacéa purpurea TM (50 gouttes matin et soir) mais aussi : maitaké, ginseng…

c. Plantes drainantes pour le foie et les reins : Taraxacum, Raphanus, Chelidonium, Berberis… qui ont un rôle important pour nettoyer l’organisme des toxines de la brellia et remonter l’état général.

d. Plantes détoxifiantes: Ail, Ail d’ours, Chlorella, aloe vera, Chardon Marie, Poconéol 1+5+7 (15 gouttes de chaque par jour pendant 3 semaines) pour nettoyer l’organisme des métaux lourds et autres toxines présentes et aggravant la situation.

e. Oligoéléments : Granion Cuivre (1 ampoule le matin) et Or (1 ampoule le soir) pour lutter contre la bactérie et l’inflammation. Le complexe Oligosol Cuivre-or-argent (1 dose le matin) sera utilisé dans les infections chroniques. Ne pas donner de zinc, qui pourrait favoriser la multiplication des bactéries.

f. Magnésium toujours utile pour relancer l’immunité et lutter contre la fatigue, avec la vitamine C (acérola naturelle 3 à 4 gr/ à prendre surtout le matin et le midi). Les autres antioxydants seront à éviter comme toujours lors d’une infection, car le système immunitaire utilise des radicaux libres pour détruire les bactéries. Aussi, une prise d’antioxydants risquerait d’amoindrir les défenses au profit des bactéries.

5. La micro-immunothérapie : La borellia est capable de se cacher dans l’organisme, laissant passer les antibiothérapies, pour revenir de manière torpide et inapparente. Les bactéries se multiplient, mais le système immunitaire n’est pas assez puissant pour s’en débarrasser. Une guerre d’usure se développe alors pendant des mois, voire des années. Elle va épuiser les défenses immunitaires ainsi que l’organisme engendrant un état de fatigue chronique.

Nous avons vu que les traitements, quelqu’ils soient, ont des difficultés à atteindre et à détruire toutes bactéries tapies dans l’organisme. La meilleure solution est donc de relancer l’immunité. Les traitements généraux déjà évoqués comme l’echinaccea ou le maïtaké sont intéressants, mais non spécifiques. La micro-immunothérapie, quant à elle, proposera un traitement spécifique contre la bactérie à l’aide de prostaglandines, interféron, interleukines, etc., prescrites à doses infinitésimales. Ce traitement ciblé sera capable d’atteindre les bactéries ; mais aussi après quelques mois, de lever le blocage immunitaire engendrer par l’infection et ainsi de relancer les défenses. Ce traitement pertinent permet de se débarrasser de la borrelia et surtout d’éviter l’évolution de la maladie vers la sclérose en plaques, la fibromyalgie, la spondylarthrite, etc. 

Mais en allant plus loin, lorsque ces maladies graves sont présentes, il faudra penser systématiquement à faire une sérologie de Lyme. Car si elle est positive, cela signifie qu’une borréliose chronique est présente et qu’elle peut être cause de cette maladie. La micro-immunothérapie pourra apporter une amélioration importante à l’état de la personne.

6. Les traitements par fréquence. Il est indiqué en cas d'échec aux traitements, pour éliminer complètement la borréliose. Il permet de faire ressortir les germes cachés et de les rendre ainsi vulnérables à la reprise du traitement. Reste à trouver un endroit pratiquant cette thérapie... ce qui n'est pas simple.

    Enfin, comme si cette maladie n’était pas encore assez compliquée, il faut savoir que la maladie de Lyme ne procure pas d’immunité définitive. Il est donc possible d’être de nouveau infecté, ce qui obscurcit encore la situation : est-ce une séquelle d’une ancienne maladie qui persiste ? Ou bien est-ce une nouvelle maladie qui débute ? Quoiqu’il en soit, la borréliose chronique est beaucoup plus fréquente qu’on ne le pense. Elle est aussi, très probablement, une des causes des nombreuses maladies graves et chroniques qui se développent actuellement dans notre pays.

 

Luc Bodin

www.luc-bodin.com

 

 

6 mars 2016

La bromélaine

 

La bromélaïne est tirée de la tige de l’ananas. Il s’agit d’une enzyme étonnante, par ces indications multiples et variées qui en font un remède hors du commun. Beaucoup de femmes l’ont déjà appréciée pour les aider à vaincre leur cellulite. Mais ces services ne s’arrêtent pas là : ecchymoses, goutte, arthrites, colite, sinusite, varices, troubles des règles…pourraient également être soulagés par ce produit.

 L’ananas nous vient d’Amérique du Sud et d’Amérique Centrale. Il était déjà connu là-bas pour ses multiples indications médicinales, bien avant l’arrivée des Espagnols. Les Indiens utilisaient la pulpe du fruit sur les blessures et son jus contre les irritations digestives.

 La bromélaïne quant à elle, fut découverte il y a maintenant plus d’un siècle. Elle est issue de la tige de l’ananas, mais aussi, en moindre mesure, du jus de fruits frais. Il s’agit d’une enzyme dite « protéolytique », ce qui signifie qu’elle est capable de réduire les protéines en fines molécules, appelées acides aminés, qui sont facilement éliminables par l’organisme.

                               

 

Ce qui est particulièrement remarquable chez cette enzyme, c’est qu’elle semble ne s’attaquer qu’aux protéines anormalement fabriquées par l’organisme, c’est-à-dire aux protéines qui ne sont pas à leur place. C’est ainsi qu’elle détruit les protéines des fibres collagènes de la cellulite, des hématomes, des kystes, des fibroses, des nodules et d’excroissances diverses, favorisant ainsi leur dissolution. On pourrait dire qu’un traitement par bromélaïne fait le ménage de tout ce qui est anormal et inutile dans l’organisme.

 Cet effet protéolytique fait contre-indiquer la bromélaïne chez la femme enceinte et allaitante à cause de son passage dans le lait maternel. Par ailleurs, cette enzyme ne présente pas d’effet indésirable.

 La bromélaïne possède également des actions anti-oedémateuse et anti-inflammatoire notables. C’est pourquoi sa première indication fut la traumatologie. Elle soulage les entorses, les coups, les tendinites, les élongations, les déchirures musculaires… mais aussi les suites d’intervention chirurgicale. Elle permet dans ces situations de diminuer l’inflammation, la douleur, les œdèmes et aussi de favoriser une cicatrisation plus rapide.

 Selon ce même principe, la bromélaïne soulagera également les articulations douloureuses, notamment en cas d’arthrose, d’arthrite, de polyarthrite, de goutte… Elle diminue la raideur ostéomusculaire et permet aux articulations de retrouver un fonctionnement plus normal.

 Cette même action anti-inflammatoire soulagera aussi les veines douloureuses comme les varices. De plus, la bromélaïne aidera à diminuer les oedèmes des jambes secondaires à une insuffisance veineuse. Elle aurait aussi une certaine action fluidifiante sur le sang ce qui permettrait de prévenir en partie les risques de phlébite, mais aussi d’accident vasculaire cérébral et d’angine de poitrine.

 Cette action sur les veines, associée à son effet protéolytique, a permis d’obtenir bien des améliorations notables sur la désagréable cellulite qui déprime nombre de femmes. La bromélaïne permettrait même de faire disparaître les capitons graisseux responsables de la « peau d’orange ».

                                          

Etant protéolytique, la bromélaïne peut être utilisée pour faciliter la digestion, surtout pour suppléer à un pancréas déficitaire (naturellement ou après pancréatectomie). Et ce qui est étonnant, c’est qu’elle serait aussi bénéfique sur les gastrites et les colites, soulageant leur inflammation et améliorant l’assimilation des aliments.

 Un autre aspect de cette plante est son effet mucolytique, c’est-à-dire qu’elle permet l’élimination des sécrétions excessives de mucus comme il en existe dans les sinusites, les bronchites, l’asthme… Cette action alliée à ses effets anti-inflammatoires, mais aussi au renforcement de l’absorption de certains antibiotiques (pénicilline surtout), font de la bromélaïne, une alliée remarquable en cas d’infection de l’arbre bronchique ou de la sphère ORL. De plus, certaines études suggèrent qu’elle serait également immunostimulante ce qui complèterait parfaitement cette indication.

 Enfin, ces multiples actions : protéolytique, anti-inflammatoire, anti-oedémateuse, immunostimulante… l’ont fait essayer avec un certain succès dans de nombreuses indications nouvelles : kyste de la thyroïde, kyste de l’ovaire, maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, fibromyalgie… et même cancer, ainsi qu’encore bien d’autres maladies où une inflammation chronique prédomine. Les doses utilisées sont souvent plus importantes que celles habituellement conseillées. Mais attention, ces indications font actuellement partie de la recherche, et la prudence s’impose, car des études sont indispensables pour étayer ses premières données.

 Hormis ces situations particulières, la bromélaïne offre déjà un éventail d’indications remarquables. Son absence d’effet indésirable et ses contre-indications quasiment inexistantes en font un remède à utiliser sans hésitation pour de nombreuses indications courantes : hématomes, cellulite, entorses, infections ORL et bronchiques, insuffisance pancréatique, colite, gastrite… pour ne parler que des principales.

Luc Bodin

www.luc-bodin.com

 

 

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26 février 2016

Les causes de la fibromyalgie

 

Selon certaines estimations, la fibromyalgie toucherait 1,4 à 2 millions de personnes en France aujourd’hui. Malgré ce chiffre, cette maladie demeure bien mystérieuse. Les causes sont mal établies, le diagnostic est généralement fastidieux à réaliser et les traitements proposés décevants. Tout cela fait que la fibromyalgie perdure pendant des années voire toute la vie, alors que des solutions autres que conventionnelles, existent…

La fibromyalgie a été découverte par Gowers en 1904 qui l’avait dénommée la « fibrosite ». Aujourd’hui, douze millions d’Européens sont atteints de cette maladie qui toucherait 4% des femmes (principalement à la périménopause) et 0,4% des hommes. Mais de nombreux enfants sont également touchés. La fibromyalgie représente une cause très fréquente de consultations pédiatriques aux Etats-Unis.

                                   

Malgré ces chiffres impressionnants – et probablement sous-évalués – les causes de la maladie sont encore très mal établies.

La thèse sensitive est la plus accréditée actuellement. Elle explique que la fibromyalgie proviendrait d’une anomalie dans le processus du contrôle de la douleur. De nombreux signes convergents semblent l’accréditer, notamment la présence de Substance P et du Nerve Growth Factor dans le liquide céphalo-rachidien (LCR), ce liquide où baignent le cerveau et la moelle épinière. Or ces substances interviennent dans les processus douloureux. Par ailleurs, l’hyperactivité du sympathique et la baisse des neuromédiateurs de sérotonine et de noradrénaline semblent également appuyer cette thèse.

 Cependant, d’autres éléments doivent également être pris en compte :

  • Des facteurs héréditaires, car un allèle plus court du gène du transport de la sérotonine a été retrouvé chez de nombreux fibromyalgiques.
  • Un état inflammatoire chronique est aussi souvent noté.
  • Un surmenage et un stress extrème, alliés à une mauvaise récupération inaugurebt souvent la fibromyalgie.
  • Une maladie auto-immune (MAI) est souvent rencontrée au cours des fibromyalgies : la polyarthrite rhumatoïde se rencontre dans 30% des fibromyalgies, le lupus érythémateux disséminé dans 31%... dans d’autres cas, une maladie auto-immune disparaît juste avant le commencement de la maladie.
  • Les infections comme la maladie de Lyme, la mononucléose infectieuse, les viroses herpétiques (EBV)… sont souvent présentes.
  • Le syndrome métabolique (constitué d’un surpoids, d’un excès de cholestérol et de triglycérides, d’un diabète et d’une hypertension artérielle) est présent chez 50 % des fibromyalgiques.
  • Des troubles digestifs chroniques.
  • Des intoxications aux métaux lourds, surtout le mercure et le nickel.

Luc Bodin

www.luc-bodin.com

 

26 février 2016

Les facteurs déclenchants de la fibromyalgie

 

Les facteurs déclenchants sont importants à connaître. Ils seront à traiter en première intention dans tous les cas de fibromyalgie. Car il arrive souvent que leur seul traitement la soulage, l’améliore voire  la  guérisse :

  • D’abord, cette maladie touche des personnalités particulières : hyperactifs, impatients, perfectionnistes… qui n’arrêtent pas de travailler et qui ne respectent les besoins de leur corps…
  • Un choc est souvent le facteur déclenchant : anesthésie, vaccins, stress excessif, chirurgie, accident, conflit, décès… mais aussi un abus sexuel (pouvant remonter à l’enfance), une maltraitance, un harcèlement… sont souvent rencontrées.
  • Cela peut être aussi : une infection, la disparition d’un MAI, une intoxication par les métaux lourds, des problèmes digestifs…

Luc Bodin

www.luc-bodin.com 

                        

                            

26 février 2016

Approche naturelle dans la fibromyalgie

 

Mais à côté de la médecine allopathique qui agit sur les symptômes, d’autres approches réalisées par des chercheurs, français, allemands, italiens et américains, se tournent davantage vers les racines de la maladie. Plusieurs approches sont ainsi possibles. Afin de déterminer laquelle pourrait convenir le mieux à la personne, il faudra se pencher sur ses antécédents et sur les facteurs déclenchants. Quoiqu’il en soit, voici les principales pistes pouvant menées à la guérison :

  • Changer de point de vue sur la vie est le premier temps : apprendre à prendre son temps, à se détendre, à assurer de bonnes nuits de sommeil, à se faire plaisir, à être ici et maintenant…
  • Traitement du facteur déclenchant : digestion d’un choc émotionnel, isothérapie d’un vaccin ou d’une anesthésie… est toujours indispensable.
  • Suivre une alimentation équilibrée, biologique et riche en crudités, en fruits, en légumes, en poissons et en huiles d’olive, de noix et de colza… Suppression des sucreries, des excitants et de l’aspartam pouvant aggraver les douleurs.
  • En cas de problème digestif : suivre un régime Seignalet sans laitages ni gluten, associé à une prise de probiotiques, d’argile et de chlorophylle (ou de glutamine) pour reconstituer la muqueuse intestinale.
  • Une détoxication de l’organisme est toujours nécessaire. Les polluants au premier rang desquels figurent les pesticides et les métaux lourds (mercure, nickel, argent, aluminium…), doivent être évacués de l’organisme. Pour cela, il est possible de faire appel aux nutriments (vitamine C, sélénium, zinc, gluthation..) et aux remèdes (aloé véra, spiruline, ail d’ours, coriandre, Hulmifulvate, chardon marie…
  • Une recherche des carences(zinc, fer, iode, vitamines D et B) est à programmer à l’aide d’une prise de sang. Quoiqu’il en soit, le magnésium (pyrophosphate de magnésium) et co-enzyme Q10 sont à prendre quasi-systématiquement. Le silicium organique peut aussi avoir un intérêt.

                                   

  • Un problème d’articulé dentaire (SADAM) est souvent évoqué en cas de fibromyalgie. Le test de la cale affirmera le diagnostic (disparition des douleurs lorsqu’une cale est placée entre les môlaires d’un côté puis de l’autre). Ensuite un traitement par un orthodontiste résoudra le problème.
  • Une infection est à rechercher principalement en cas de maladie de Lyme, de Brucellose, de dengue, d’herpès, de candidose, d’infections à staphylocoques ou à mycoplasme… dans les antécédents. Une simple prise de sang (typage lymphocytaire et sérologie) permettra le diagnostic. Le traitement fera appel aux traitements classiques (antibiotiques, antiviraux, antimycosiques, huiles essentielles, extraits de pamplemousse, ail, probiotiques…) ou mieux à la micro-immunothérapie.
  • En cas de maladie auto-immune associée, le traitement de la fibromyalgie sera entièrement lié au traitement de cette maladie.
  • La recherche d’une acidose de l’organisme est facile à repérer à l’aide de quelques bandelettes urinaires réalisées pendant quelques jours. En cas de besoin, une alimentation surtout végétarienne, sans alcool, ni café, associée à une prise de lithothamne améliorera le trouble.
  • D’une manière générale, il est prudent de s’éloigner des champs électromagnétiques artificiels : lignes électriques, lignes haute tension, antennes relais, téléphone portable et sans fil, radar, wifi, etc. qui, s’ils ne sont pas la cause ( ?), risquent du moins aggraver les symptômes présentés notamment les douleurs et la fatigue.
  • Des cures thermales sont maintenant organisées dans de nombreuses stations pour les personnes atteintes de fibromyalgie.
  • D’autres traitements présentent aussi un intérêt : les Sérocytols, les bilans du CEIA, les soins énergétiques, la géobiologie…

Tous ces traitements de fond ne doivent pas faire oublier l’intérêt des traitements naturels pour tous les troubles de la vie quotidienne comme la douleur avec l’acupuncture, la mésothérapie, l’EFT, l’harpagophytum, la sophrologie, les applications, les huiles essentielles…

Luc  Bodin

www.luc-bodin.com

 

26 février 2016

Traitements naturels dans la sclérose en plaques

 

Des traitements naturels, une alimentation équilibrée, des conseils simples permettent déjà des améliorations importantes de la sclérose en plaques (SEP). Ils s’associeront aux traitements conventionnels.

* un régime Kousmine et/ou Seignalet est indispensable, pour éliminer les toxines de l’alimentation et reconstituer les intestins qui sont souvent à l’origine de la sclérose en plaques.

* l’ablation de tous les amalgames dentaires a montré des améliorations très importantes dans les troubles dus à la SEP. Mais attention, les extractions doivent être réalisées en plusieurs temps et en respectant des règles strictes pour éviter toute contamination au mercure pendant leur réalisation, sinon le remède serait pire que le mal…

* la prise d’huile d’onagre est toujours nécessaire en cas de SEP. Elle participe à la régénération des gaines de myéline des neurones détruites dans cette maladie.

* des antioxydants à doses fortes (SOD, acide alpha-lipoïque, co-enzyme Q10, concentré de melon) qui protégeront les neurones des attaques des radicaux libres et source de destruction de la gaine de myéline.

* des vitamines B, D et le zinc… le magnésium… pour relancer la reconstitution des neurones.

De plus, il est toujours important de s’éloigner de toutes les sources de champs électromagnétiques (appareils électriques, électricité, téléphone portable, ordinateur…) qui peuvent aggraver l’irritation des nerfs atteints et donc les douleurs et les impotences fonctionnelles de la maladie. Il faut pour cela débrancher les appareils et ne pas simplement les éteindre lorsqu’ils ne sont pas utilisés.

En cas de sclérose en plaques, il faut aussi rechercher une infection chronique cachée : Lyme, mycose ou mycoplasmose… qui peut être à l’origine de la maladie.

Une recherche de la symbolique de la maladie est toujours nécessaire pour comprendre le sens et les raisons de sa survenue.

Par ailleurs, contrairement à ce qui est souvent dit : le vaccin de l’hépatite B ne produit pas la SEP. Il ne « donne » pas la SEP. Par contre, il peut réveiller les gènes de cette maladie, qui étaient présents à l’état latent chez la personne, et qui ne se seraient pas manifestés sans lui… ou beaucoup plus tardivement.

Si la SEP a été déclenchée par le vaccin contre l’hépatite B, il faut antidoter le vaccin (même des années plus tard). Le plus simple pour cela, est d’utiliser l’homéopathie avec  :
* Vaccin hépatite B 9CH (si vous avez le nom commercial du vaccin utilisé, c’est encore mieux) : 3 granules le matin pendant 4 à 6 mois.
* et Vaccin hépatite B 15CH : 1 dose/15 jours pendant 4 mois puis 1 dose/mois.
Et aussi, afin d’éliminer les métaux contenus dans le vaccin, prendre Humifulvate (1 gel/j chez Smart city) pendant plusieurs mois avec du sélénium.

Luc Bodin

www.luc-bodin.com

 

 

26 février 2016

Cancer, causes et traitements.

Le cancer est une maladie particulière qui touche la personne dans son intégralité. Le physique est bien sûr atteint, mais également le psychisme et l’énergétique de la personne. C’est pourquoi le traitement doit s’intéresser à tous ces aspects pour que la personne malade puisse atteindre la guérison complète.

Il y aurait 850 000 personnes atteintes de cancer en France actuellement avec 250 000 nouveaux cas diagnostiqués tous les ans et 150 000 décès par an. La médecine victorieuse des années 80 pensait trouver rapidement le traitement de cette difficile maladie. Plus de 30 ans plus tard, nous constatons qu’il n’en fut rien. Il est donc nécessaire aujourd’hui de commencer à réfléchir autrement et de faire appel à des traitements et des techniques qui furent autrefois rejetés par la médecine.

                      

Le cancer est une maladie multifactorielle, c’est-à-dire qui est la conséquence de plusieurs facteurs associés plutôt qu’un seul. Ces causes peuvent provenir de différents niveaux :

  • Physique qui est le plus connu : hérédité, tabac, alimentation, alcool, rayonnement, pollution, infections, médicaments, hormones, ondes électromagnétiques…
  • Psychisme : stress, choc émotionnel, conflit… sont autant de situations pouvant favoriser ou déclencher un cancer.
  • Énergétique : blocage dans la circulation énergétique, baisse du niveau vibratoire, accumulation d’énergies perverses, etc.
  • Spirituel : manque de sens de la vie, non-respect de ses aspirations profondes, oubli de soi…

C’est généralement l’association de plusieurs de ces facteurs au cours de la vie qui finissent par produire un cancer, un choc émotionnel en étant souvent le déclencheur final (et non la cause comme il est souvent présenté). Ceci explique aussi pourquoi les cancers sont plus nombreux chez les personnes âgées.

Aussi lorsqu’une personne est atteinte d’un cancer, il est indispensable – faute de savoir quelles furent les causes précises de la maladie – de proposer un traitement qui va agir sur ces différents niveaux :

  • Les traitements conventionnels (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie) sont toujours à suivre. Quelques remèdes naturels permettront de mieux supporter leurs effets indésirables. Ces traitements ne sont pas la panacée, ils évolueront très certainement à l’avenir au profit d’autres voies moins agressives. Mais, pour le moment, ils ont le mérite d’être là et de sauver des vies. Il ne faut surtout pas les négliger, car ils offrent aux personnes malades des chances indéniables de guérison. Il est très conseillé de se faire soigner et suivre dans des centres experts (spécialisés en cancérologie) afin de bénéficier des meilleurs protocoles.
  • Les traitements naturels offrent également de très intéressantes voies thérapeutiques : vitamine C injectable, enzymes, germanium, molybdène, vitamine D, acides aminés, thermothérapie, micro-immunothérapie, huile de foie de requin, Fractal, etc. Mais le manque d’études importantes les concernant ne permet aujourd’hui de les proposer comme traitement alternatif. Ils constituent par contre d’excellents traitements complémentaires qui apportent des chances supplémentaires de guérison aux malades. Ils sont à commencer en même temps que les traitements conventionnels et non uniquement lorsque ceux-ci ont échoué !

                           

  • Les traitements psychiquesviseront à aider la personne à surmonter le choc du diagnostic de cancer, mais aussi à l’aider à trouver des ressources pour guérir. Ce sera aussi un temps important pour solutionner tous les anciens conflits, notamment le conflit déclencheur lorsqu’il est présent. Un travail sur ses valeurs limitantes, ses peurs et ses croyances erronées, est toujours indispensable. Pour cela, il existe de nombreux outils comme la visualisation, la PNL, la psychothérapie, l’EFT, le TAT, etc.
  • Les traitements énergétiques sont remarquables pour aider à diminuer le volume tumoral, lever les blocages, évacuer les énergies perverses, remonter le niveau énergétique de la personne, relancer sa circulation énergétique générale, etc.
  • L’évolution personnelle ira à la recherche du sens de sa vie (et de « la » vie), mais aussi du sens de sa maladie qu’il est indispensable que la personne comprenne si elle désire guérir définitivement. La méditation, la réflexion, la prière, le pardon, l’amour, sans oublier la loi d’attraction et Ho’oponopono sont d’excellentes « techniques » pour cela.
  • Un changement de mode de vie. Il est indispensable que la personne malade modifie son mode de vie, apportant ainsi sa contribution à sa guérison. Pour cela, une alimentation biologique est indispensable, mais aussi de bons temps de sommeil, une activité physique régulière, des contacts avec la nature, une bonne respiration… Et en allant plus loin, il lui faut aussi prendre son temps, méditer, faire partie de groupes de paroles, suivre une psychothérapie (ou PNL) de soutien, développer des loisirs et des activités artistiques (peinture, musique, décoration, sculpture, couture, etc.), se détendre, rire, se distraire, voyager… sans oublier les caresses et une vie sexuelle épanouie.

Ainsi, lorsqu’une personne est atteinte de cancer, il ne faut pas qu’elle demeure inactive et attende simplement le traitement ou le remède miracle qui va la guérir sans qu’elle n’ait rien à changer de sa vie. Il lui faut, tout au contraire, qu’elle devienne un acteur de sa guérison, organise ses traitements et change positivement son rythme de vie. Grâce à cela, la maladie deviendra aussi un formidable outil d’évolution personnelle… ce qui constitue très certainement la raison même de son développement.

Luc Bodin

www.luc-bodin.com

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  • Pascal Gordon, une expérience de 25 ans de magnétiseur, énergéticien, barreur de feu, soins à distance, soutien aux malades (calculs, cancer, sclérose en plaques, zona, psoriasis, eczéma, migraine, déprime, etc. ), bien-être général,
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